vendredi 4 novembre 2016
dimanche 30 octobre 2016
MARSEILLE-CASSIS - Dimanche 30 Octobre 2016
Et me voilà de retour sur cette course après plusieurs années d'absence. Merci Nico pour l'obtention des dossards; et en plus dans le SAS des moins 1h30, soit l'assurance d'être fluide au départ. Plus de 14000 personnes au départ, et une longue attente pour les derniers à s'élancer (qui ne franchiront la ligne que vers 10h15, soit 45' après nous). Course désormais ramenée à 20 km pour en faire une course 20 km officielle, soit 300 mètres de moins que la course historique.
Le temps est encore magique : on se baigne encore dans la région dans une eau à 19 deg.
Au moment du départ, les donneurs d'allure se positionnent juste à coté de moi.Je décide de partir avec eux, avec la ferme intention de ne pas chercher à m'accrocher quand ils vont commencer à me distancer, car il est évident que je n'ai pas 1h30 dans les jambes (et de toutes façons je les ai jamais eu :-)). Départ donné pile à 9h30 : je suis une vingtaine de mètres derrière les élites, et franchement c'est hyper confort. Je reste avec les meneurs d'allure moins d'1h30 jusqu'au 3 ème km, entre 4'40 et 4'45 du km, avant de commencer à lâcher un peu prise au moment ou la route s'élève un peu plus franchement, à Vaufrèges. A partir du 6ème (début Gineste), je bouffe mon 1 er gel : je passe au delà de 5'20 du km, ce qui me permet de rester relativement à l'aise (tout est relatif bien sûr). J'essaie de compenser la perte de vitesse en me plaçant bien. Je passe à 5'50 dans les passages plus raides. Je suis pas hyper rapide, mais me sent pas mal. Sommet à 9,5 km franchi en 48'40", et banderole des 10 km en 51'. On essaie de remettre en marche dans cette partie faux plat descendant. Tout va bien. A 11,5, petit coup de cul qu'il faut bien anticiper, puis gros plat de Carpiagne : j'essaie de bien lever les jambes, mais musculairement je suis pas prêt pour ça, et je le sens : on passe le 3 ème ravito du 15 ème (gorgée d'eau et verre de sirop), puis la descente sèche vers Cassis qui fait mal aux cuisses.Avant l'entrée dans Cassis, second gel avant le virage. Je pensais que le ravito était juste là, mais non il est 500 m plus loin : du coup, j'ai ce gel pâteux dans la bouche pendant 2 bonnes minutes, et j'accuse un peu le coup dans cette partie. Le ravito arrive, et je m'arrête une petite trentaine de seconde : oh! je vais pas lâcher maintenant. Non, je repars, mais je suis un peu sec d'un coup. Arrive la côte des pompiers. J'attaque en courant, puis je marche 30 mètres, avant de me relancer peu avant le sommet. Je peux attaquer la descente pleine balle, ce que je fais. Là c'est super : on entend la ferveur du port. On fait les 2 ou 3 derniers virages, puis on rentre dans l'arène. Génial, il reste 400 m à faire sur le port, et je profite. C'est bon. Je m'arrache dans les 50 derniers mètres. Je passe la ligne en 1h35', loin des 1h30 bien sûr, mais plutôt satisfait de ma course : pas trop abimé, et une bonne gestion avec un 2ème 10 en 44' après le premier en 51'.
Voilà, voilà : c'est finit. C'est super. Tout le monde est content. Brigitte fait aussi une belle course en 1h52' (1h01 au 10km, et 51' sur le deuxième 10 km) : c'est franchement pas mal.
Le temps est encore magique : on se baigne encore dans la région dans une eau à 19 deg.
Au moment du départ, les donneurs d'allure se positionnent juste à coté de moi.Je décide de partir avec eux, avec la ferme intention de ne pas chercher à m'accrocher quand ils vont commencer à me distancer, car il est évident que je n'ai pas 1h30 dans les jambes (et de toutes façons je les ai jamais eu :-)). Départ donné pile à 9h30 : je suis une vingtaine de mètres derrière les élites, et franchement c'est hyper confort. Je reste avec les meneurs d'allure moins d'1h30 jusqu'au 3 ème km, entre 4'40 et 4'45 du km, avant de commencer à lâcher un peu prise au moment ou la route s'élève un peu plus franchement, à Vaufrèges. A partir du 6ème (début Gineste), je bouffe mon 1 er gel : je passe au delà de 5'20 du km, ce qui me permet de rester relativement à l'aise (tout est relatif bien sûr). J'essaie de compenser la perte de vitesse en me plaçant bien. Je passe à 5'50 dans les passages plus raides. Je suis pas hyper rapide, mais me sent pas mal. Sommet à 9,5 km franchi en 48'40", et banderole des 10 km en 51'. On essaie de remettre en marche dans cette partie faux plat descendant. Tout va bien. A 11,5, petit coup de cul qu'il faut bien anticiper, puis gros plat de Carpiagne : j'essaie de bien lever les jambes, mais musculairement je suis pas prêt pour ça, et je le sens : on passe le 3 ème ravito du 15 ème (gorgée d'eau et verre de sirop), puis la descente sèche vers Cassis qui fait mal aux cuisses.Avant l'entrée dans Cassis, second gel avant le virage. Je pensais que le ravito était juste là, mais non il est 500 m plus loin : du coup, j'ai ce gel pâteux dans la bouche pendant 2 bonnes minutes, et j'accuse un peu le coup dans cette partie. Le ravito arrive, et je m'arrête une petite trentaine de seconde : oh! je vais pas lâcher maintenant. Non, je repars, mais je suis un peu sec d'un coup. Arrive la côte des pompiers. J'attaque en courant, puis je marche 30 mètres, avant de me relancer peu avant le sommet. Je peux attaquer la descente pleine balle, ce que je fais. Là c'est super : on entend la ferveur du port. On fait les 2 ou 3 derniers virages, puis on rentre dans l'arène. Génial, il reste 400 m à faire sur le port, et je profite. C'est bon. Je m'arrache dans les 50 derniers mètres. Je passe la ligne en 1h35', loin des 1h30 bien sûr, mais plutôt satisfait de ma course : pas trop abimé, et une bonne gestion avec un 2ème 10 en 44' après le premier en 51'.
Voilà, voilà : c'est finit. C'est super. Tout le monde est content. Brigitte fait aussi une belle course en 1h52' (1h01 au 10km, et 51' sur le deuxième 10 km) : c'est franchement pas mal.
dimanche 16 octobre 2016
Ronde de Vélizy - 17/10/16
De retour sur la ronde. Cette année course préparatoire pour Marseille Cassis dans 2 semaines.
Niveau entraînement, je suis pas trop mal niveau physique, mais pas une vraie préparation spécifique pour aller chercher toujours et encore les 40'. Malgré tout, @Juju, me propose de me donner l'allure pour 40' : sympa, je décide de tenter en sachant que ça va être encore bien raide niveau cardio. Temps toujours magnifique sur cette course, et nous voilà sur la ligne de départ, un peu derrière certes, mais on ne laissera qu'une petite dizaine de secondes dans l'histoire.
Nous voilà partit. Devant Clément, Yann et Speedy vont se disputer le match entre 36' et 39'; quand à moi, je me retrouve rapidement entouré de David et Steph FDJ, les 2 visant aussi 40'. 3'55'' 1 er kil, 4' le second, 3'58'' le 3 ème : on est à peu près dans l'allure, mais je sens que j'ai zéro marge, le cardio déjà à plus de 90%. Juju devant m'encourage : ça aide à pas lâcher. Les secondes se gagnent en s'arrachant un peu plus que ce que l'on croit pouvoir faire. 4 ème kil, je vois David qui commence à s'éloigner tout doucement...mais surement; et Steph juste derrière moi. 5000 en 20' : dans l'allure, mais j'éprouve le besoin de commencer à récupérer un peu, au moment où il faudrait en remettre un peu. Sans vraiment exploser, je lâche seconde après seconde. La portion avec le demi-tour entre 6 et 7 est difficile. On s'accroche. On rentre dans le bois, j'essaie d'allonger, mais non, je suis à bloc, à 4'15'' au km : rien à faire de plus! j'attends les derniers 500 pour essayer d'accélérer et assurer un sub 42'. Je passe sous l'arche en 41'55'', à 193 bpm de pulse, et pris de vomissement sitôt la ligne franchie, sous l'effet de l'accumulation d'acide lactique; je suis vraiment allé très loin dans l'effort, et à postériori, je me demande si c'est bien sérieux.
Comme dit Juju, il me manque évidemment une phase de préparation spécifique, avec du temps de soutien entre autre.
Résultats : 194/725 et 23 ème V2/119
données de course :
Niveau entraînement, je suis pas trop mal niveau physique, mais pas une vraie préparation spécifique pour aller chercher toujours et encore les 40'. Malgré tout, @Juju, me propose de me donner l'allure pour 40' : sympa, je décide de tenter en sachant que ça va être encore bien raide niveau cardio. Temps toujours magnifique sur cette course, et nous voilà sur la ligne de départ, un peu derrière certes, mais on ne laissera qu'une petite dizaine de secondes dans l'histoire.
Nous voilà partit. Devant Clément, Yann et Speedy vont se disputer le match entre 36' et 39'; quand à moi, je me retrouve rapidement entouré de David et Steph FDJ, les 2 visant aussi 40'. 3'55'' 1 er kil, 4' le second, 3'58'' le 3 ème : on est à peu près dans l'allure, mais je sens que j'ai zéro marge, le cardio déjà à plus de 90%. Juju devant m'encourage : ça aide à pas lâcher. Les secondes se gagnent en s'arrachant un peu plus que ce que l'on croit pouvoir faire. 4 ème kil, je vois David qui commence à s'éloigner tout doucement...mais surement; et Steph juste derrière moi. 5000 en 20' : dans l'allure, mais j'éprouve le besoin de commencer à récupérer un peu, au moment où il faudrait en remettre un peu. Sans vraiment exploser, je lâche seconde après seconde. La portion avec le demi-tour entre 6 et 7 est difficile. On s'accroche. On rentre dans le bois, j'essaie d'allonger, mais non, je suis à bloc, à 4'15'' au km : rien à faire de plus! j'attends les derniers 500 pour essayer d'accélérer et assurer un sub 42'. Je passe sous l'arche en 41'55'', à 193 bpm de pulse, et pris de vomissement sitôt la ligne franchie, sous l'effet de l'accumulation d'acide lactique; je suis vraiment allé très loin dans l'effort, et à postériori, je me demande si c'est bien sérieux.
Comme dit Juju, il me manque évidemment une phase de préparation spécifique, avec du temps de soutien entre autre.
Résultats : 194/725 et 23 ème V2/119
données de course :
lundi 5 septembre 2016
COL PYRENEENS -SEPT 2016
Séjours demi traversée des Pyrénées du 29/08 au 05/09.
Saint Lary Soulan -> Saint Jean de Luz
- Mardi 30/08/16 - Montée Val Louron par col d'Azet puis Peyresourde et retour par Arreau. 60 km-1900 m>0
Depuis CAMPING LA MOUSQUERE à BOURISP
Après une halte dans le Tarn (Arfons), nous voici au charmant camping de la Mousquère à l'entrée de St Larry Soulan. Un petit camping d'une quinzaine de Mobil home au pied de la montagne (un peu proche de la route, mais on l'entend très peu, surtout à cette période de l'année).
Notre programme pour les 3 jours à venir est chargé.
Aujourd'hui c'est la montée au Val Louron par le col d'Azet, enchaînée avec la montée au Peyresourde.
Départ à 9h30 : temps encore gris mais prévu de se dégager à mi journée.Du coup un peu frais au démarrage. J'attaque avec les jambières que je vais très vite enlever. L'entame est simple : nous sommes au pied de la montagne, donc pas d'échauffement - ça attaque tout de suite. 10,5 km de montée pour 800 m>0. Pas hyper dur, mais un bon col quand même. La montée dans le brouillard rend la montée assez mystique. Environ 1h10 de montée. En haut, c'est pas très beau avec la vue sur la station de ski du Val Louron bien moche. Descente rapide de 8 km vers Génos. Le soleil est revenue entre temps, ce qui donne des températures très agréables. Après quelques kilomètres (4,5) en fond de vallée, on attaque Peyresourde (9 km - 700 m>0); 50' de montée dans un environnement assez sympa et sous le soleil et dans des pentes pas trop dures. Mais on commence à sentir le fatigue du premier col. En haut, petite pause crêpe bienvenue (0,5 Euros la petite crêpe : ça se mange par 4 ou 5 /pers) , avant de repartir par là ou on est monté. Descente de 9 km, avant un long faux plat descendant de 10 km pour rejoindre Arreau (à la jonction des vallées d'Aure et du Louron, sur le chemin de St Jacques de Compostelle), charmant petit village où nous faisons une pause sandwich. J'avais dans l'idée au moment de planifier le parcours, d'enchaîner avec la boucle de 40 km Aspin + Hourquette d'Ancizan : évidemment on va rentrer direct - déjà 3h de vélo effectif (et + de 4h que nous sommes partis). Nous effectuons les 10 derniers kilomètres en un peu plus de 20' à un bon rythme, et terminons la sortie un peu crevés quand même. La piscine en plein air de St Lary au pied des montagnes permet de bien se délacer en fin d'après midi. Ballade dans St Lary également très sympa.
Arreau |
- Mercredi 31/08/16-Montée Piau Engaly puis Lac de Cap de long. 70 km-2600m>0
Une grosse journée au programme : la montée au lac du cap de long, une des soi disant plus belle montée des Pyrenées : on a hâte de voir ça. Cette montée fait 25 km pour 1300 m>0. Comme je pense que ça fait court, je dis à Brigitte qu'on va d'abord monter à la station de ski de Piau Engaly , ce qui va nous rajouter 20 km A/R. Je sais que la journée risque d'être un peu longue et chaude, donc nous partons pas trop tard vers 8h45. Les 11 premiers kilomètres sont de la montée entre 3 et 4%, donc tranquille : 40' de montée. Au 11 ème, on laisse la route des lacs qui part à droite, pour poursuivre sur la route d'Espagne du port de Bielsa les 10 km suivants vers Piau. Après Argnouet, ça s'accentue, et à partir de la bifurcation de la route vers l'Espagne, les % changent d'un coup, et ça devient un vrai col avec ses bons 8 à 10% pendant ces 7 derniers Km qui nouq ferons gagner 500m>0 et que nous effectuerons en 45' et en plain cagnard . Plus un chat sur la route. C'est beau, et pas facile!Arrivée en haut, à 10h50. La station est très moche. On ne traîne pas car je sais, qu'après la descente pour rejoindre le carrefour de la route des Lacs, il va nous rester 14 km de montée très sévère et 1000 m>0. Nous voilà redescendu, et ce que je craignais se confirme : le démarrage vers les lacs est très pentue. et ce sera comme ça pendant 14 bornes avec quelques rares accalmies. Une route vraiment très très belle, qui doit beaucoup circuler l'été, mais calme à cette époque. De très beaux paysages somptueux, qu'il nous faudra 1h30 à parcourir. Nous arrivons au sommet vers 13h, en espérant que le troquet du coin soit opérationnel, car nous avons la grosse dalle. Yes, le Garlitz est là, et bien ouvert. La patron sympa, chambre un peu tout le monde, et les cyclistes montés jusque là, car honnêtement il faut se la farcir cette montée!! Très bon menu proposé, à 15 euros très correcte, avec un lomo maison revisité. Ceci dit, après autant d'effort, tout est bon. Par contre à cette altitude (2150 m), mieux vaut se couvrir, même avec le soleil : veste printemps et coupe vent. Nous quittons ce Lac et ce plus gros barrage des Hautes Pyrénées, pour la descente superbe et un peu dangereuse évidemment compte tenu de la pente, et retour Bourisp vers 15h après 4h25 de vélo effectif (6h50 de temps écoulé ). Repiscine Saint Lary!
- Jeudi 01/09/16-Boucle Ancizan --> Col Hourquette Ancizan --> Col Aspin --> Arreau--> Ancizan - 42 km , 1550 m>0
Dernier jour à Saint Lary. Avant de partir, nous voulons effectuer cette magnifique boucle qui nous emmène dans les zones pastorales. De très beaux coins, et la garantie de pédaler au milieu des bêtes.
Un peu fatigués de nos 2 premières journées, nous choisissons le sens le plus facile pour cette boucle, à savoir commencer par le col d'Hourquette d'Ancizan depuis Ancizan et revenir par Aspin vers Arreau, car la montée d'Aspin depuis Arreau est sévère! Départ 9h à la fraîche car la journée est encore chaude. Une montée très jolie, vallée d'Aure dans le dos, 800 m>0,1 ère catégorie de 10 bornes à 7,9% de moyenne, en un peu moins d'1h10, pas hyper difficile, pas mal à l'ombre, avec une route qui s'élève progressivement et sans une voiture.
En haut , à 1550 m, vue superbe sur le plateau de Payolle juste en dessous.
On commence à voir plein de bestioles de ce coté là. La descente est magnifique avec régulièrement des troupeaux de vaches, brebis, ou quelques chevaux en travers de la route. En bas de la descente de 8 km, on prend à droite vers le col d'Aspin, et 5,5 km de montée à 8% de moy : pentu mais court. J'effectue les premiers 500 m avec BUP, puis j'allume un peu sur les 5 dernières bornes restantes que je monterai à 12 de moyenne en 26,30''. Encore plein de bêtes de partout : on est en pleine nature sur la route, c'est génial! Quelques photos avec BUP au sommet à 1500 m, puis descente vers Arreau sur environ 11,5 km, avant de retourner tranquillement vers Ancizan. 2h40 pour effectuer cette boucle de 42 km (3h15 de temps écoulé), 1550m>0, très jolie.
L'après midi, transfert vers Argeles Gazost (Agost Vidalos exactement) mobile home camping 4* du Pibest.
Montée très belle, de 19 km, 1400 m >0, à 7,4% de moy, qui me semble un peu moins difficile que par le versant nord. Très belle montée, un peu urbaine au début, avant de basculer sur des paysages de haute montagne après Barrèges. % élevés juste avant et juste après Barrèges, et le dernier kilomètre.
3 derniers kilomètres à bloc à 12,6 km/h... En haut , 2100 m, un peu frais, mais belles conditions au soleil. Un petit coup à boire au troquet, avant la redescente rapide vers St Sauveur.
2h25 de vélo effectif (3h de temps écoulé), pour cette sortie de 38 km, avant de prendre la route pour le pays Basque.
En haut , à 1550 m, vue superbe sur le plateau de Payolle juste en dessous.
On commence à voir plein de bestioles de ce coté là. La descente est magnifique avec régulièrement des troupeaux de vaches, brebis, ou quelques chevaux en travers de la route. En bas de la descente de 8 km, on prend à droite vers le col d'Aspin, et 5,5 km de montée à 8% de moy : pentu mais court. J'effectue les premiers 500 m avec BUP, puis j'allume un peu sur les 5 dernières bornes restantes que je monterai à 12 de moyenne en 26,30''. Encore plein de bêtes de partout : on est en pleine nature sur la route, c'est génial! Quelques photos avec BUP au sommet à 1500 m, puis descente vers Arreau sur environ 11,5 km, avant de retourner tranquillement vers Ancizan. 2h40 pour effectuer cette boucle de 42 km (3h15 de temps écoulé), 1550m>0, très jolie.
L'après midi, transfert vers Argeles Gazost (Agost Vidalos exactement) mobile home camping 4* du Pibest.
- Samedi 03/09/16 Montée Tourmalet depuis Luz St Sauveur - 38 km, 1600 m>0
Montée très belle, de 19 km, 1400 m >0, à 7,4% de moy, qui me semble un peu moins difficile que par le versant nord. Très belle montée, un peu urbaine au début, avant de basculer sur des paysages de haute montagne après Barrèges. % élevés juste avant et juste après Barrèges, et le dernier kilomètre.
3 derniers kilomètres à bloc à 12,6 km/h... En haut , 2100 m, un peu frais, mais belles conditions au soleil. Un petit coup à boire au troquet, avant la redescente rapide vers St Sauveur.
2h25 de vélo effectif (3h de temps écoulé), pour cette sortie de 38 km, avant de prendre la route pour le pays Basque.
- Dimanche 04/09/16 Col de Burdincurucheta + Bagargui au départ de St Jean Pied de Port - 70 km, 2000 m>0
Une des plus belles sorties, et aussi presque la plus rude après celle des lacs. Au départ de St Jean, environ 4,5 km pour rejoindre St Jean Le vieux, puis route à droite vers la route des cols d'Iraty. Encore 10 km d'approche tranquille, et au 14 ème km, un mûr se dresse!! Pendant 4,5 km, plus de 11% de moyenne avec localement beaucoup plus. un petit replat, et hop ça repart encore. Jusqu'au sommet du col de Burdincurucheta, km 23, à 1150m, on prend alors 850 m> sur 8 km, soit des % de psychopathes! bref très durs. Mais les paysages sont à la hauteur de l'effort. Après 3 km de descente, un peu mins de 6 km de montée, pour arriver au sommet de Bargargi (1350 m, km 32), dans la plus grande forêt de Hêtres d'Europe. Redescente des 6 km par le même endroit, puis retour à St Jean Pied de port par la D301 coté Esterançuby. Et là, grosse surprise, on s'attendait à descendre, mais on commence par monter 2,5 km, puis 1 km après 4 bornes de descente, puis de nouveau 2 km après 1 km de descente : et pas que des petites côtes! bref on vient de se faire de nouveau 10 bornes dont 5,5 de montée assez hard : c'est 13h, on est en plein soleil! ça devient costaud. Heureusement la vue qui s'offre à nous, sur la vallée de la Nive est somptueux. Bref, opn commence à avoir la dalle, et surtout je me dis qu'il va bien falloir redescendre tout ce qu'on a monté, et qu'il reste plus beaucoup de kilomètres pour ça, et donc, va y avoir de la pente : ce qui se confirme rapidement : des passages à plus de 20% assez fréquents : j'aimerai pas monter par ce coté! les freins sentent le crâmé, nous nous arrêtons pour refroidir tout ça. Nous finissons enfin par arriver à Esterençuby, et à la première Auberge (Auberge Carricaburu sur les bords de la Nive) nous nous arrêtons pour manger tout ce qui se présente : on est sage et on se contente d'une bière et d'une salade bien dodue, mais que c'est bon de reprendre des forces! il nous reste que 6 kilomètres, que nous effectuerons à un rythme de sénateur, pour boucler la boucle en 4h de vélo effectif (6h de temps) pour 70 km. Content que ça s'arrête!
dimanche 21 août 2016
TRIATHLON 'M' (1,5/40/10) FERTE BERNARD 21/08/2016
Après un début de saison prometteur, avec l’enchaînement de duathlons courte distance pour le championnat Ile de France, une vilaine blessure à la hanche a calmé mes ardeurs, avec un arrêt de la CAP durant 2 mois de Mai à Juin. Après 2 longues distances en Mai et Juin, du coup un peu galères en CAP, on se décidait début Août, pour le M de la Ferté Bernard, encore jamais fait, mais de bonne réputation. Préparation minimaliste mode coup de poing sur 2 semaines, avec des séances courtes et enchaînées, à haut régime (des 30/30, des 1/1, des séries de 1000, et 3 séances enchaînées vélo /CAP à allure élevée + du Home trainer en fréquence haute), histoire de se mettre du rythme.
Nous voilà partis en camion : nous sommes 5 du club + 4 qui nous retrouveront sur place. Temps idéal, limite un peu chaud, mais avec un beau soleil. Plan d’eau dans les 21/22 deg : le top. Site campagnard : ça se présente bien. 14h30 : Nous voilà prêts à en découdre. Les féminines partent 10’ devant nous. A notre tour : coup de flip habituel au moment de se mettre à l’eau avec tous ces concurrents autour – baston assurée. Même en partant derrière, le passage à la première bouée est hot : ça frotte bien. Fin du premier tour en 16’, sortie à l’Australienne, et on replonge pour la seconde boucle. J’essaie toujours de me concentrer sur le technique, faute de pouvoir accélérer le rythme. Je sors de l’eau à environ 31’30, 150 m de transition pour rejoindre le parc, une transition de merde où je n’arrive pas à sortir les bras de la combi, et me voilà partit, juste devant Tonio, en un peu plus de 34’. Dès le début du vélo, pas de jambes : je suis naze ; la nat m’a rincé, ce qui n’est pas habituel. Tonio me double au bout de 5 minutes environ, après le passage de la première côte, ce qui a pour effet de me réveiller. Du coup je fais l’effort pour le garder en visu à 10 m. Le rythme est juste correct dans les 31 de moyenne. La seconde côte arrive, qui s’avère plutôt gentille, mais la 3 ème, vers le 12 ème kilomètre, est très méchante !Je suis toujours à 10 m de Tonio, que je prends soin de ne pas dépasser pour ne pas l’énerver : je ne me sens pas suffisamment en jambes pour relancer s’il accélère d’un coup. Fin du premier tour ; je croise Bribri qui part pour son deuxième tour (je n’ai pas encore réussi à lui reprendre les 10’ du départ : elle fait une belle course !), alors qu’ on fait le tour du stade, et on repart. Dans la première côte, je passe finalement devant Tonio qui a un peu ralenti. Je me sens un peu mieux, et décide de relancer dès que je peux. Ce deuxième tour me semble mieux passer que le premier. Je double Bribri à 4 km de l’arrivée. Je termine après 1h15 de vélo au total, et un peu mal aux cannes quand même. La transition se passe bien : je pars pieds nus dans mes pompes de CAP, et j’ai bien fait de ne pas traîner, car Tonio pose le vélo 1’ derrière, juste derrière Bribri (partie 10’ avant). Je pars avec l’espoir de tourner comme à l’entraînement en 4’35’’ au km, mais dès le premier km, je vois que ça ne sera pas possible. Je décide donc de me caler entre 4’45’’ et 5’/km, en regardant toujours Tonio derrière, et en en gardant un peu au cas où il faille relancer . 3 tours : on se croise donc, ce qui me permet d’évaluer à chaque tour que Tonio ne me reprend rien. Dans le dernier tour, le bougre accélère, et je dois relancer fort la cadence sur la dernière ligne droite, pour terminer en 48’ la CAP : Tonio vient mourir 30 secondes derrière, soit pas grand-chose.
Devant c’est allé beaucoup trop vite pour moi : ils sont costauds, et m’ont mis un bon ¼ d’heure. Va falloir que je bosse si je veux juste me rapprocher.
Quand à Bribri, elle arrive environ 5’ derrière moi, et termine donc à un petit ¼ d’heure, ce qui est très bien.
Voilà : 1 CD de plus à mon actif. L’entraînement de dernière minute m’a quand même été bénéfique, mais il m’a manqué clairement du foncier. Pas grave : une belle course champêtre, sous le soleil, et dans une bonne ambiance club ! Tout ce qu’on aime.
NOM Prénom
|
Rg/259 partants
|
Cat
|
Rg/cat
|
Swim
|
Cycle
|
Run
|
Tps
|
Clement
MATHIS
|
62
|
JUM
|
1
|
00:29:05
|
01:14:34
|
00:40:19
|
02:23:59
|
Cedric
TOHIER
|
67
|
VEM
|
16
|
00:28:35
|
01:10:50
|
00:45:02
|
02:24:28
|
Gilles
JAUDOIN
|
68
|
VEM
|
17
|
00:28:14
|
01:11:12
|
00:45:07
|
02:24:35
|
Emmanuel
LAPOUTGE
|
79
|
VEM
|
25
|
00:28:18
|
01:11:29
|
00:46:55
|
02:26:43
|
Laurent
CHABERT
|
134
|
VEM
|
58
|
00:34:05
|
01:15:20
|
00:48:16
|
02:37:41
|
Antonio
DA SILVA
|
136
|
VEM
|
59
|
00:34:37
|
01:16:09
|
00:47:20
|
02:38:07
|
Pascal
NADON
|
209
|
VEM
|
102
|
00:35:27
|
01:21:51
|
00:55:21
|
02:52:40
|
Brigitte
USSEGLIO POLATERA
|
212
|
VEF
|
7
|
00:35:18
|
01:25:08
|
00:54:10
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