1er jour: levé 5h; départ 5h30 pour Orly Sud (easy jet)- arrivée 5h50 parking P0 réservé tarif WE (49 E). Transfert à pied Orly Sud : 10 mn Max. Bagage cabine seul. Décollage 7h10-arrivée 8h40; j'ai roupillé la moitié du trajet. Rendez vous au départ vaporeto a pied (5 mn depuis l'aéroport). Ligne orange pour San Angello : 27 euros À/R par le Vaporeto ( environ 100 euros sinon en bateau taxi!). Traversée tranquille 1h, mais à l'arrivée dans le grand canal, surprise: les berges sont sous 20 à 40 cm d'eau; les gens ont des espèces de bottes en sachet plastique: on se sent un peu mal barré avec nos pompes!! On descend à San angelo, en face de notre hôtel , le palazio San angelo: 4* luxe! C'est nickel . Chambre classique au 4 eme et dernier étage ( mais sans vue sur ke grand canal): double espace salon chambre, baignoire à jets, dressing,...a 11 h on repart direction place saint Marc pour la visite de la basilic. En route stop dans une pâtisserie 'marchini Time' pour petit sandwich + café ': une tuerie!On poursuit jusqu'à la la place st Marc, en évitant les passages encore inondés : en fait Aqua Alta coefficient 80, donc plutôt haut. La place est encore en partie inondée quand on arrive. Visite de la basilique, avec l'option trésor (3euros) et pala d'oro (+ 2euros). Déjeuner au Cavatapi : superbe : très bon : très bon choix. Après midi à gallerie de l'académie pour voir les œuvres des peintres du 16 eme au 18ème siècle. Quelques œuvres impressionnantes!visite d'1h20 environ, avant de rejoindre l'hôtel en passant par le rialto . 45 mn de marche! En route nous passons devant une espèce de trattoria qui paie pas de mine : je dis a Brigitte que ça doit pas être mal. Après une pause d'1h30 a l'hôtel, nous y retournons pour dîner. 'Enoteca al volto ' : 2 petits verres en apéro, avec antipasti offert, puis spaghettis à l'encre de sèche et gnocchis pour Brigitte, avant un dessert gâteau amandes. Bref, loin de la foule un endroit top. Retour chambre 22h15. Dodo 23h30.
Second jour samedi 6/12: démarrage en douceur à 10h30 après déjeuner copieux hôtel. On part pour le mercato du Rialto. Pause en route a campo San Luca a notre pâtisserie favorite pour un petit café. Puis direction le Rialto où nous flânons toute la matinée avec pause vine rosso valpolicella et petits sandwichs au bar 'Al Merçia ' juste sur la place du marché. Superbe ambiance. Qques achats à la grande épicerie dans une des rues principales ( dans l'axe du pont). On passe a l'hôtel poser nos affaires puis re-place San Luca pour café pâtisserie; avant de filer au musée Peggy et tous ses artistes contemporains du 20ème. Magnifique musée , mais prévoir presque 3 heures si on veut tout voir. Audio guide plutôt bien fait . Il est17h30 quand on termine , un peu rincé. Mais la journée n'est pas finie car ce soir, concert classique les 4 saisons à 20h30 à l'église . Juste le temps de se poser à l'hôtel, de repartir dîner au même endroit qu'hier au soir ( mais moins bien ce soir) puis d'aller au concert. Un bon moment d'1h30 d'un bon niveau. Retour hôtel 22h00. Ouf. Demain palais des doges au programme.
vendredi 5 décembre 2014
dimanche 30 novembre 2014
CROSS DE CHAVILLE - 8,8 km - 30/11/2014
Le traditionnel cross de Chaville se tenait le 30/11/14. Nous sommes 7 représentants du club (Speedy, Vinc'e, El Cabanos, Patrick L, Didier B, Bribri et moi). Température de saison (5 deg) et terrain pas trop boueux. Départ: je me positionne pas trop mal sur la ligne devant et plutôt dans l'axe.
Départ bien placé donc, je me retrouve à la sortie de la grille du parc dans les 15 premiers après 200 m et la première bosse. Au moins je cours en voyant où je mets les pieds, car les pièges peuvent être cachés sous les feuilles d'automne, et avec mes chevilles en cotons mieux vaut être prudent. Je me cale peu à peu à mon allure à environ 5'/km. Evidemment je me fais reprendre petit à petit par tous les potes un peu plus rapide (d'abord speedy, puis Vincent, et enfin Oliv' derrière qui j"essaie de m'accrocher à quelques dizaines de mètres. Après un premier tour assez rapide, je calme un peu dans le second pour mieux terminer. Léger coup de mou à l'amorce du 3ème, toujours avec Oliv à une centaine de mètres, qui semble aussi un peu marquer le coup. Je retrouve quelques ressources sur le dernier kilomètre, et je réduis un peu mon écart pour terminer à 30 secondes derrière Oliv, toujours aussi performant le bougre. Je boucle les 8,8 km en 40'15'', exactement comme l'année précédente, 79 ème scratch/200, et 9 ème V2.
Données de course : (clic)
Départ bien placé donc, je me retrouve à la sortie de la grille du parc dans les 15 premiers après 200 m et la première bosse. Au moins je cours en voyant où je mets les pieds, car les pièges peuvent être cachés sous les feuilles d'automne, et avec mes chevilles en cotons mieux vaut être prudent. Je me cale peu à peu à mon allure à environ 5'/km. Evidemment je me fais reprendre petit à petit par tous les potes un peu plus rapide (d'abord speedy, puis Vincent, et enfin Oliv' derrière qui j"essaie de m'accrocher à quelques dizaines de mètres. Après un premier tour assez rapide, je calme un peu dans le second pour mieux terminer. Léger coup de mou à l'amorce du 3ème, toujours avec Oliv à une centaine de mètres, qui semble aussi un peu marquer le coup. Je retrouve quelques ressources sur le dernier kilomètre, et je réduis un peu mon écart pour terminer à 30 secondes derrière Oliv, toujours aussi performant le bougre. Je boucle les 8,8 km en 40'15'', exactement comme l'année précédente, 79 ème scratch/200, et 9 ème V2.
Données de course : (clic)
lundi 10 novembre 2014
TRAIL DE LA SANS RAISON 3 EME EDITION - DIMANCHE 9/11/14 - PARCOURS THERESE 16 KM -300m>0
Je m'étais réinscrit avec Brigitte sur ce petit trail car il est hyper sympa, à 100% dans les bois, à 3 mn de la maison, et que c'est pour une bonne cause (Association Laurette Fuguain), et que le ravito d'arrivée est en béton armé.
Un parcours exigeant que j'avais parcouru en 1h23 l'année dernière sans avoir l'impression de trop traîner quand même. Donc objectif cette année : me faire plaisir sans avoir le cardio au taquet dès le début. Je suis devant sur la ligne avec mon poto David, que je sais bien plus rapide que moi : suivant l'allure qu'il adoptera j'essaierai de prendre sa foulée ...ou pas. Le départ est donné à 10h sur le stade. Température assez agréable d'une dizaine de degrés, temps couvert mais sec, et terrain gras. Nous voilà partis pour 150 m de stade : je suis en tête au premier virage :-). J'adopte une allure qui me semble prudente, mais néanmoins, je reste dans les 4 ou 5 premiers après 400 m, et donc je me dis que je dois être trop rapide : je coupe donc sensiblement mon effort; On rentre dans le bois, pour courir sur un single pendant 200 m environ : je me retrouve coincé derrière un mec qui n'avance pas ce qui m'évite d'aller trop vite : David, lui me double comme un fou : je l'aurai encore en vue durant 2 km environ avant qu'il ne disparaisse.Je prends donc un rythme dans les 4'25''/4'30" au km, qui me permet de garder un cardio assez bas.Après 3 km, on attaque la première descente : ça double de partout la dedans, alors que le terrain est masqué sous les feuilles : cheville droite strapée, je fais très gaffe quand même : par 2 fois c'est la cheville gauche qui va partir, heureusement sans dégât car elle est intact et assez renforcée; la même chose à droite et la course s'arrêtait!!Bref je suis hyper prudent : au milieu de cette descente un gars déjà arrêté la cheville en vrac. Un peu plus loin, c'est la première féminine, qui m'avait doublé dès le début, qui est aussi arrêtée la cheville vrillée. Donc la prudence est de mise. Je poursuis mon effort : je passe les premières petites montées courtes et bien raides en adoptant un train régulier et peu rapide. Je prends beaucoup de plaisir. Je me fais doubler par la seconde féminine juste avant la montée de la chaumière : 500 m à 10%, que je passe très bien en 3'05", en pouvant relancer en haut. Je suis en 38 ème position. Pour une fois je fais une course sans trop souffrir niveau cardio, ce qui me procure un certain confort : par contre musculairement, je déguste, et les jambes se font un peu douloureuses.Arrivé au cimetière de Vélizy, ravito : 8km en 39'45''.Je suis à peu près dans mon allure habituelle de trail sur 10 km, soit 12km/h ... sauf que là il y a 16 bornes. Mais je ne m'inquiète pas car j'ai la sensation d'être pas trop mal. Un vieux de 65 ballets est toujours au contact : je le passe dans les montées, et il me repasse systématiquement dans les descentes et sur le plat je ne lui reprends rien : c'est Michel Joly!! (encore 3h06 au marathon d'Amsterdam en 2012) - vraiment très costaud le gars!! Nous sommes un petit groupe avec les positions bien établies lorsque arrive la montée du cimetière de Vélizy : et la tout explose : ceux qui étaient limites dans ce groupe, dont la 3 ème féminine, marquent le pas, tandis que j'arrive à enchaîner en courant. En haut j'ai recollé à Joly, mais il réenclenche aussi sec et me remet la distance. on redescend avant un long plat sympathique au fond de la forêt, puis virage à droite pour la côte de 150 m à 25% : évidemment on marche, mais le cardio en prend un coup quand même. En haut, il reste 5 km. Je me sans toujours pas trop mal, et ça ne revient pas de l'arrière. Mon objectif maintenant : aller chercher le vieux qui est 150 m devant. pour l'instant c'est du plat, donc je sais que je ne reviendrais pas, mais il y a une dernière côte qui se profile , côte du trou au gant : 250 m à 10% environ. La côte arrive,; comme prévu Joly marque un peu le pas, et je reviens doucement; (au passage je dépose un mec qui était devant : une place de gagné);en haut de la côte, je suis dans ses talons, et là je me dis : tu restes collé derrière. Comme d'habitude il relance derrière, et je me fais un peu violence pour rester dans la roue!c'est bon on est sur le même rythme sans être totalement à fond. Je me dis que je me le ferai sur le stade dans 2 km. Un gars revient de l'arrière de je ne sais où : il nous passe. Et d'un coup Joly s'arrête, sur une portion plutôt roulante :il marche une dizaine de mètres, puis repart : je suis 100 m devant : je ne sais toujours pas ce qu'il a fait, mais du coup j'essaie d'aller chercher le gars qui vient de nous doubler :mais la barre est un peu trop haute. J'arrive sur le stade; j'accélère comme je peux. Top :1h19 et 39". 4' de mieux que l'an dernier. Joly termine une trentaine de secondes derrière. Très satisfait de la course : 4ème V2/ 62 et 36 ème/520 au scratch. David termine dans les 10 en 1h11' et 1er vétéran : c'est très très costaud!! Bravo.
Données de course Garmin : http://connect.garmin.com/modern/activity/629381013
Résultats :
Un parcours exigeant que j'avais parcouru en 1h23 l'année dernière sans avoir l'impression de trop traîner quand même. Donc objectif cette année : me faire plaisir sans avoir le cardio au taquet dès le début. Je suis devant sur la ligne avec mon poto David, que je sais bien plus rapide que moi : suivant l'allure qu'il adoptera j'essaierai de prendre sa foulée ...ou pas. Le départ est donné à 10h sur le stade. Température assez agréable d'une dizaine de degrés, temps couvert mais sec, et terrain gras. Nous voilà partis pour 150 m de stade : je suis en tête au premier virage :-). J'adopte une allure qui me semble prudente, mais néanmoins, je reste dans les 4 ou 5 premiers après 400 m, et donc je me dis que je dois être trop rapide : je coupe donc sensiblement mon effort; On rentre dans le bois, pour courir sur un single pendant 200 m environ : je me retrouve coincé derrière un mec qui n'avance pas ce qui m'évite d'aller trop vite : David, lui me double comme un fou : je l'aurai encore en vue durant 2 km environ avant qu'il ne disparaisse.Je prends donc un rythme dans les 4'25''/4'30" au km, qui me permet de garder un cardio assez bas.Après 3 km, on attaque la première descente : ça double de partout la dedans, alors que le terrain est masqué sous les feuilles : cheville droite strapée, je fais très gaffe quand même : par 2 fois c'est la cheville gauche qui va partir, heureusement sans dégât car elle est intact et assez renforcée; la même chose à droite et la course s'arrêtait!!Bref je suis hyper prudent : au milieu de cette descente un gars déjà arrêté la cheville en vrac. Un peu plus loin, c'est la première féminine, qui m'avait doublé dès le début, qui est aussi arrêtée la cheville vrillée. Donc la prudence est de mise. Je poursuis mon effort : je passe les premières petites montées courtes et bien raides en adoptant un train régulier et peu rapide. Je prends beaucoup de plaisir. Je me fais doubler par la seconde féminine juste avant la montée de la chaumière : 500 m à 10%, que je passe très bien en 3'05", en pouvant relancer en haut. Je suis en 38 ème position. Pour une fois je fais une course sans trop souffrir niveau cardio, ce qui me procure un certain confort : par contre musculairement, je déguste, et les jambes se font un peu douloureuses.Arrivé au cimetière de Vélizy, ravito : 8km en 39'45''.Je suis à peu près dans mon allure habituelle de trail sur 10 km, soit 12km/h ... sauf que là il y a 16 bornes. Mais je ne m'inquiète pas car j'ai la sensation d'être pas trop mal. Un vieux de 65 ballets est toujours au contact : je le passe dans les montées, et il me repasse systématiquement dans les descentes et sur le plat je ne lui reprends rien : c'est Michel Joly!! (encore 3h06 au marathon d'Amsterdam en 2012) - vraiment très costaud le gars!! Nous sommes un petit groupe avec les positions bien établies lorsque arrive la montée du cimetière de Vélizy : et la tout explose : ceux qui étaient limites dans ce groupe, dont la 3 ème féminine, marquent le pas, tandis que j'arrive à enchaîner en courant. En haut j'ai recollé à Joly, mais il réenclenche aussi sec et me remet la distance. on redescend avant un long plat sympathique au fond de la forêt, puis virage à droite pour la côte de 150 m à 25% : évidemment on marche, mais le cardio en prend un coup quand même. En haut, il reste 5 km. Je me sans toujours pas trop mal, et ça ne revient pas de l'arrière. Mon objectif maintenant : aller chercher le vieux qui est 150 m devant. pour l'instant c'est du plat, donc je sais que je ne reviendrais pas, mais il y a une dernière côte qui se profile , côte du trou au gant : 250 m à 10% environ. La côte arrive,; comme prévu Joly marque un peu le pas, et je reviens doucement; (au passage je dépose un mec qui était devant : une place de gagné);en haut de la côte, je suis dans ses talons, et là je me dis : tu restes collé derrière. Comme d'habitude il relance derrière, et je me fais un peu violence pour rester dans la roue!c'est bon on est sur le même rythme sans être totalement à fond. Je me dis que je me le ferai sur le stade dans 2 km. Un gars revient de l'arrière de je ne sais où : il nous passe. Et d'un coup Joly s'arrête, sur une portion plutôt roulante :il marche une dizaine de mètres, puis repart : je suis 100 m devant : je ne sais toujours pas ce qu'il a fait, mais du coup j'essaie d'aller chercher le gars qui vient de nous doubler :mais la barre est un peu trop haute. J'arrive sur le stade; j'accélère comme je peux. Top :1h19 et 39". 4' de mieux que l'an dernier. Joly termine une trentaine de secondes derrière. Très satisfait de la course : 4ème V2/ 62 et 36 ème/520 au scratch. David termine dans les 10 en 1h11' et 1er vétéran : c'est très très costaud!! Bravo.
Données de course Garmin : http://connect.garmin.com/modern/activity/629381013
Résultats :
lundi 20 octobre 2014
10 KM de la ronde pédestre de Vélizy - 19 Octobre 2014
L'objectif de cette rentrée était le 10 km de Vélizy que je vais effectuer pour la 4 ème ou 5 ème fois. Et toujours cet objectif de 40 mn sur lequel je bute depuis 10 ans, et les années passant, ça devient de plus en plus rude...
Cette année, sur les conseils de Rachid, j'ai mis le paquet sur le fractionné court type 30/30, 1/1, ....
Je me sens prêt, mais mes dernières sorties avec séries de 3000/2000/1000 me laisse à penser qu'il va être dur de tenir 4'/km.
Je me prépare à un plan de course en 4'10''/km sur les 3 premiers kil, puis 4'05 sur les 2 suivants, 4' sur le 6 ème, puis 3'50 sur les 4 derniers. Temps superbe, limite chaud (25 °C). Je règle ma montre pour me donner les temps de passage tous les 500 m.
Une envie pressante m'oblige à revenir sur la ligne de départ un peu tard, du coup placé 10 mètres derrière la ligne: je vais donc devoir piétiner une dizaine de secondes avant de passer la ligne.
10h30, c'est partit. Je m'extirpe rapidement pour franchir le 1er virage sans être trop gêné, mais immanquablement ça part encore vite. 1 er 500 m en 1'55 : oups encore trop rapide. second en 1'52. Impossible de ralentir :je me force donc à lever le pied, avant d'être irréversiblement crâmé.3ème 500 en 1'58, c'est mieux, mais encore trop haut. 4 ème 500 en 2'03 :j'arrive sur mon objectif ...mais ces 2 premiers kil à 3'50'' puis 4'/km sont beaucoup trop rapides : je vais le payer!! J'essaie de maintenir mes pulses vers 181/182 bpm (soit 92%) ; je sais qu'au delà je tape trop dans le sucre des muscles. Je me cale enfin à 4'10'' au km aux 3 ème et 4 ème kil, mais au moment d'accélérer au 5 ème, c'est l'inverse qui se produit :je passe à 4'15 puis 4'25" le suivant et 4'30" le 7 ème. J'essaie de maintenir un cardio en dessous de 183/184, pour pouvoir accélérer un peu sur le dernier tiers. Aux demi-tours je vois mes camarades du club (certains devant, d'autres derrière). A partir du 7 ème j'essaie de relancer, car je sais que j'ai pris cher entre les 4 ème et 7 ème. Mon cardio s'emballe :188/190. Tant pis j'essaie de m'arracher. Musculairement c'est dur. Je sors enfin du bois : reste 1 km. J'essaie de maintenir mon effort :je ne sais pas du tout où j'en suis de mon chrono. Je rentre sur le stade pour les derniers 300 m. Je sprint autant que je peux. Je dépose une féminine (pas très sport : ok). Je suis à 100% de ma fréquence max à 195 pulses. Le chrono tombe : 42'08''. C'est 1'15" de mieux que l'an dernier, mais encore loin de mon objectif.
Je ne peux pas faire mieux au niveau cardio. Je pense que ma préparation était bonne. Je suis maintenant persuadé qu'il m'a manqué du renforcement musculaire pour pouvoir soutenir l'allure, et qu'il faut calmer le jeu sur les 2 premiers km.
Je pense que je vais tester tout ça sur un prochain 10, probablement à la corrida d'Issy le 14 décembre.
Données de course (clic)
Résultats (clic)
Diplôme :
Cette année, sur les conseils de Rachid, j'ai mis le paquet sur le fractionné court type 30/30, 1/1, ....
Je me sens prêt, mais mes dernières sorties avec séries de 3000/2000/1000 me laisse à penser qu'il va être dur de tenir 4'/km.
Je me prépare à un plan de course en 4'10''/km sur les 3 premiers kil, puis 4'05 sur les 2 suivants, 4' sur le 6 ème, puis 3'50 sur les 4 derniers. Temps superbe, limite chaud (25 °C). Je règle ma montre pour me donner les temps de passage tous les 500 m.
Une envie pressante m'oblige à revenir sur la ligne de départ un peu tard, du coup placé 10 mètres derrière la ligne: je vais donc devoir piétiner une dizaine de secondes avant de passer la ligne.
10h30, c'est partit. Je m'extirpe rapidement pour franchir le 1er virage sans être trop gêné, mais immanquablement ça part encore vite. 1 er 500 m en 1'55 : oups encore trop rapide. second en 1'52. Impossible de ralentir :je me force donc à lever le pied, avant d'être irréversiblement crâmé.3ème 500 en 1'58, c'est mieux, mais encore trop haut. 4 ème 500 en 2'03 :j'arrive sur mon objectif ...mais ces 2 premiers kil à 3'50'' puis 4'/km sont beaucoup trop rapides : je vais le payer!! J'essaie de maintenir mes pulses vers 181/182 bpm (soit 92%) ; je sais qu'au delà je tape trop dans le sucre des muscles. Je me cale enfin à 4'10'' au km aux 3 ème et 4 ème kil, mais au moment d'accélérer au 5 ème, c'est l'inverse qui se produit :je passe à 4'15 puis 4'25" le suivant et 4'30" le 7 ème. J'essaie de maintenir un cardio en dessous de 183/184, pour pouvoir accélérer un peu sur le dernier tiers. Aux demi-tours je vois mes camarades du club (certains devant, d'autres derrière). A partir du 7 ème j'essaie de relancer, car je sais que j'ai pris cher entre les 4 ème et 7 ème. Mon cardio s'emballe :188/190. Tant pis j'essaie de m'arracher. Musculairement c'est dur. Je sors enfin du bois : reste 1 km. J'essaie de maintenir mon effort :je ne sais pas du tout où j'en suis de mon chrono. Je rentre sur le stade pour les derniers 300 m. Je sprint autant que je peux. Je dépose une féminine (pas très sport : ok). Je suis à 100% de ma fréquence max à 195 pulses. Le chrono tombe : 42'08''. C'est 1'15" de mieux que l'an dernier, mais encore loin de mon objectif.
Je ne peux pas faire mieux au niveau cardio. Je pense que ma préparation était bonne. Je suis maintenant persuadé qu'il m'a manqué du renforcement musculaire pour pouvoir soutenir l'allure, et qu'il faut calmer le jeu sur les 2 premiers km.
Je pense que je vais tester tout ça sur un prochain 10, probablement à la corrida d'Issy le 14 décembre.
Données de course (clic)
Résultats (clic)
Diplôme :
mardi 2 septembre 2014
SORTIES VELO BRIANCON SEPT 2014
Lundi 1er SEPT : PLAMPINET-COL DU GRANON (A/R)- 60 km- 1450 m>0
Ca faisait très longtemps que je voulais faire ce col, et ce séjour dans la vallée de Névache m'en donnait l'occasion. Après un petit café à l'auberge de la Clarée (Plampinet), nous voilà partis avec Bribri. L'impression de vent du Nord de ce matin au levé se confirme : il est fort et frais. Toute la sortie de la vallée de la Clarée en faux plat descendant et vent dans le dos :voilà un bon démarrage en douceur à 40 km/h sans forcer! A la sortie de Briançon, direction St Chaffray, où ça commence à grimper doucement, puis embranchement à droite :'col du granon :11km'.
La pente est raide et le vent de face maintenant. La route s'élève rapidement : peu de voitures :c'est la tranquillité totale. on monte doucement en profitant un peu du panorama sur la grave et serre chevalier.On passe d'un paysage assez végétale à quelque chose de plus caillouteux vers le haut. La montée est vraiment raide : aucun kilomètre à moins de 8,5%. A 5 km du sommet, passage annoncé à 11,1%, et on le sent bien!!
On débouche enfin au sommet après 1h25 de montée à un petit rythme. En haut ça pelle bien avec le vent. Après pause sandwich, tarte myrtille café au troquet du coin, on bâche un peu et place à la descente très éprouvante car on prend beaucoup de vitesse dans ces % et la route est sinueuse : on tétanise un peu sur les freins.
Nous pensons un moment monter le col du Montgenèvre avant de rentrer, mais le fort vent de face sur le retour calme nos ardeurs, et nous rentrons direct finalement sur Plampinet.
Données Garmin : http://connect.garmin.com/modern/activity/580172299
JEUDI 04 SEPTEMBRE - DOUBLE ASCENSION IZOARD PAR LES 2 FACES -100 KM -2850 m>0
Voilà un truc qui me trotte dans la tête depuis un moment, mais que je n'ai jamais vraiment eu l'occasion de réaliser : monter un col HC 2 fois d'affilée. Etant basé à Plampinet (vallée de Névache, à 15 km de Briançon), je regarde rapidement une carte : 17 bornes pour arriver au pied de l'Izoard coté Briançon, 19 km pour le monter, 14 pour le redescendre de l'autre coté jusqu'à la vallée du Gil, et 14 pour le remonter, puis 36 pour rentrer à la maison. 100 bornes au total. La météo est plutôt bonne alors je dis à Brigitte on se le tente. On fera un point au premier passage au sommet et si tout va bien, on redescend de l'autre coté : la seule contrainte étant qu'une fois de l'autre coté il faudra remonter coûte que coûte (sinon ce sera le train depuis montdauphin ce qui serait un peu ballo!!). Nous voilà partis à 9h20, avec la trousse de Guidon qui nous permet de stocker coupe vent, veste demi saison, dérive chaîne (ce serait con de se retrouver coincé de l'autre coté par un bris de chaîne!), gants longs et sandwich : ça fait un peu touriste, mais la journée s'annonce longue. Première partie faux plat descendant jusqu'à Briançon, avec veste printemps et gants longs sur cette portion ( il fait un petit 8 degrés). A Briançon on se dévêtit. Dès la sortie de Briançon, panneau Col Izoard à 19 km : le premier km part très raide tout de suite (j'avais plutôt en tête un démarrage tranquille : en fait c'est avant Cervières que ça se calme un peu).
Bref on prend un rythme de sénateur afin de s'économiser.
Du coup on profite bien de cette belle montée d'abord plutôt minérale jusqu'à Cervières, puis dans les arbres : on est tranquille :ça se passe bien : ce coté n'est pas le plus dur; la pente est souvent < 8%. La fin, de nouveau dans les cailloux, est belle au dessus du refuge Napoléon.On franchit le sommet à 11h45, pas trop entamés.
Ca semble aussi aller pour Brigitte : du coup je ne lui laisse pas trop le temps de réfléchir, et je la presse pour redescendre de l'autre coté; Ca y est on est repartit coté Queyras : on ne peut plus reculer. Petit coup de cul de 150 m à la casse déserte en pleine descente : tient ça fait mal aux pattes ...Descente hyper rapide , et au fur et à mesure qu'on descend je me dis immanquablement qu'il va falloir remonter ça tout de suite et que même en s'étant économiser c'est bien raide, en tout cas plus que l'autre coté. A la Chalp (9 km de descente) je pense un moment attaquer la montée à partir de là : mais non, on y est ; on va faire ce qui est prévu; donc on descend encore les 5 derniers km :ça semble très long. Ouf on arrive à l'intersection des gorges du Guil : à droite Guillestre; à gauche col Agnel (je m'imagine un moment faire la trilogie avec le col Agnel en plus... stop :on se reconcentre).
On fait donc demi tour
Brigitte commence à rouspéter que je la presse trop : c'est pas faux, mais il est 12h30 et je sais que qu'on en a encore pour 1h30 de montée + 2 h pour rentrer + la pause casse croute en haut...La montée démarre de manière un peu raide, puis se calme au bout de 1,5 km avec une portion plus roulante. On s'approche de la Chalp, et la route reprend du %. Puis arrive la terrible ligne droite de Brunissard, la où à la descente, le vélo prend 70 km/h en 5 ou 6 sec sans filer un coup de pédale ... et on comprend pourquoi : on est planté à 7 km/h avec Bribri; il fait hyper chaud, et on se dit qu'on a été ambitieux. Heureusement en s'élevant, on reprend un peu de fraîcheur. Inévitablement, les écritures sur la route m'amènent à avoir une pensée pour les forçats de l'Embrunman ... ça doit être terrible. Voilà les mouches qui se mettent de la partie : des nuées tout autour , attirées par la sueur... Désormais on lutte contre la pente ...et les mouches. Après un début un peu délicat, on finit par trouver un petit rythme, et tant bien que mal, mais surtout pas très vite, on atteint la casse déserte.
Ouf, nous voilà presque rendus. Petite pause photo. Et on repart par 150 m de descente avant de reprendre les 2 derniers kms de montée. Après la monument de Fausto Coppi, j'accélère pour me faire plaisir jusqu'au sommet : c'est un régal.On repasse le sommet pour la seconde fois de la journée : il est environ 14h. .Yes c'est fait!!
Pause sandwich, puis descente au refuge Napoléon pour une tarte fruit rouge avec Meringue et café.
On repart environ 1/2 h plus tard. La descente est belle et longue. Brigitte crève à l'entrée de Briançon : réparation de 20'!! Nous remontons Briançon en faisant le tour par le Centre Commercial afin d'éviter la rue hyper raide qui traverse la ville. Le retour à Névache se fait en tournant les jambes. Arrivée vers 17h. Une bien belle journée comme on les aime, et un peu mal aux jambes quand même.
La sortie ici : http://connect.garmin.com/modern/activity/582575903
LUNDI 08 SEPTEMBRE - COLS DE MONTGENEVRE- SESTRIERES- ECHELLE
Nous profitons du beau temps pour programmer de nouveau une belle sortie avec 3 cols au programme. Un bel enchaînement, pour une centaine de km. Nous partons plus léger que pour l'Izoard, avec l'objectif de s'arrêter déjeuner dans une tratoria après le col de Sestrières. Du coup pas de sacoche de guidon, mais juste un coupe vent. Au départ à 09h, un peu frais jusqu'à la sortie de la vallée aux Alberts ( soit 11 km), puis on se réchauffe avec la montée du Montgenèvre.
La sortie ici : sortie Sestrières
Ca faisait très longtemps que je voulais faire ce col, et ce séjour dans la vallée de Névache m'en donnait l'occasion. Après un petit café à l'auberge de la Clarée (Plampinet), nous voilà partis avec Bribri. L'impression de vent du Nord de ce matin au levé se confirme : il est fort et frais. Toute la sortie de la vallée de la Clarée en faux plat descendant et vent dans le dos :voilà un bon démarrage en douceur à 40 km/h sans forcer! A la sortie de Briançon, direction St Chaffray, où ça commence à grimper doucement, puis embranchement à droite :'col du granon :11km'.
La pente est raide et le vent de face maintenant. La route s'élève rapidement : peu de voitures :c'est la tranquillité totale. on monte doucement en profitant un peu du panorama sur la grave et serre chevalier.On passe d'un paysage assez végétale à quelque chose de plus caillouteux vers le haut. La montée est vraiment raide : aucun kilomètre à moins de 8,5%. A 5 km du sommet, passage annoncé à 11,1%, et on le sent bien!!
On débouche enfin au sommet après 1h25 de montée à un petit rythme. En haut ça pelle bien avec le vent. Après pause sandwich, tarte myrtille café au troquet du coin, on bâche un peu et place à la descente très éprouvante car on prend beaucoup de vitesse dans ces % et la route est sinueuse : on tétanise un peu sur les freins.
Nous pensons un moment monter le col du Montgenèvre avant de rentrer, mais le fort vent de face sur le retour calme nos ardeurs, et nous rentrons direct finalement sur Plampinet.
Données Garmin : http://connect.garmin.com/modern/activity/580172299
JEUDI 04 SEPTEMBRE - DOUBLE ASCENSION IZOARD PAR LES 2 FACES -100 KM -2850 m>0
Voilà un truc qui me trotte dans la tête depuis un moment, mais que je n'ai jamais vraiment eu l'occasion de réaliser : monter un col HC 2 fois d'affilée. Etant basé à Plampinet (vallée de Névache, à 15 km de Briançon), je regarde rapidement une carte : 17 bornes pour arriver au pied de l'Izoard coté Briançon, 19 km pour le monter, 14 pour le redescendre de l'autre coté jusqu'à la vallée du Gil, et 14 pour le remonter, puis 36 pour rentrer à la maison. 100 bornes au total. La météo est plutôt bonne alors je dis à Brigitte on se le tente. On fera un point au premier passage au sommet et si tout va bien, on redescend de l'autre coté : la seule contrainte étant qu'une fois de l'autre coté il faudra remonter coûte que coûte (sinon ce sera le train depuis montdauphin ce qui serait un peu ballo!!). Nous voilà partis à 9h20, avec la trousse de Guidon qui nous permet de stocker coupe vent, veste demi saison, dérive chaîne (ce serait con de se retrouver coincé de l'autre coté par un bris de chaîne!), gants longs et sandwich : ça fait un peu touriste, mais la journée s'annonce longue. Première partie faux plat descendant jusqu'à Briançon, avec veste printemps et gants longs sur cette portion ( il fait un petit 8 degrés). A Briançon on se dévêtit. Dès la sortie de Briançon, panneau Col Izoard à 19 km : le premier km part très raide tout de suite (j'avais plutôt en tête un démarrage tranquille : en fait c'est avant Cervières que ça se calme un peu).
Du coup on profite bien de cette belle montée d'abord plutôt minérale jusqu'à Cervières, puis dans les arbres : on est tranquille :ça se passe bien : ce coté n'est pas le plus dur; la pente est souvent < 8%. La fin, de nouveau dans les cailloux, est belle au dessus du refuge Napoléon.On franchit le sommet à 11h45, pas trop entamés.
Ca semble aussi aller pour Brigitte : du coup je ne lui laisse pas trop le temps de réfléchir, et je la presse pour redescendre de l'autre coté; Ca y est on est repartit coté Queyras : on ne peut plus reculer. Petit coup de cul de 150 m à la casse déserte en pleine descente : tient ça fait mal aux pattes ...Descente hyper rapide , et au fur et à mesure qu'on descend je me dis immanquablement qu'il va falloir remonter ça tout de suite et que même en s'étant économiser c'est bien raide, en tout cas plus que l'autre coté. A la Chalp (9 km de descente) je pense un moment attaquer la montée à partir de là : mais non, on y est ; on va faire ce qui est prévu; donc on descend encore les 5 derniers km :ça semble très long. Ouf on arrive à l'intersection des gorges du Guil : à droite Guillestre; à gauche col Agnel (je m'imagine un moment faire la trilogie avec le col Agnel en plus... stop :on se reconcentre).
On fait donc demi tour
Brigitte commence à rouspéter que je la presse trop : c'est pas faux, mais il est 12h30 et je sais que qu'on en a encore pour 1h30 de montée + 2 h pour rentrer + la pause casse croute en haut...La montée démarre de manière un peu raide, puis se calme au bout de 1,5 km avec une portion plus roulante. On s'approche de la Chalp, et la route reprend du %. Puis arrive la terrible ligne droite de Brunissard, la où à la descente, le vélo prend 70 km/h en 5 ou 6 sec sans filer un coup de pédale ... et on comprend pourquoi : on est planté à 7 km/h avec Bribri; il fait hyper chaud, et on se dit qu'on a été ambitieux. Heureusement en s'élevant, on reprend un peu de fraîcheur. Inévitablement, les écritures sur la route m'amènent à avoir une pensée pour les forçats de l'Embrunman ... ça doit être terrible. Voilà les mouches qui se mettent de la partie : des nuées tout autour , attirées par la sueur... Désormais on lutte contre la pente ...et les mouches. Après un début un peu délicat, on finit par trouver un petit rythme, et tant bien que mal, mais surtout pas très vite, on atteint la casse déserte.
Ouf, nous voilà presque rendus. Petite pause photo. Et on repart par 150 m de descente avant de reprendre les 2 derniers kms de montée. Après la monument de Fausto Coppi, j'accélère pour me faire plaisir jusqu'au sommet : c'est un régal.On repasse le sommet pour la seconde fois de la journée : il est environ 14h. .Yes c'est fait!!
Pause sandwich, puis descente au refuge Napoléon pour une tarte fruit rouge avec Meringue et café.
On repart environ 1/2 h plus tard. La descente est belle et longue. Brigitte crève à l'entrée de Briançon : réparation de 20'!! Nous remontons Briançon en faisant le tour par le Centre Commercial afin d'éviter la rue hyper raide qui traverse la ville. Le retour à Névache se fait en tournant les jambes. Arrivée vers 17h. Une bien belle journée comme on les aime, et un peu mal aux jambes quand même.
LUNDI 08 SEPTEMBRE - COLS DE MONTGENEVRE- SESTRIERES- ECHELLE
Nous profitons du beau temps pour programmer de nouveau une belle sortie avec 3 cols au programme. Un bel enchaînement, pour une centaine de km. Nous partons plus léger que pour l'Izoard, avec l'objectif de s'arrêter déjeuner dans une tratoria après le col de Sestrières. Du coup pas de sacoche de guidon, mais juste un coupe vent. Au départ à 09h, un peu frais jusqu'à la sortie de la vallée aux Alberts ( soit 11 km), puis on se réchauffe avec la montée du Montgenèvre.
Très peu de voitures ce Lundi, ce qui est très agréable sur cette montée souvent très fréquentée. Pas de difficulté majeure : pente à peu près régulière. Attention toutefois aux derniers 700 m, tout en ligne droite et avec des % supérieurs à 8%, ça surprend si on démarre trop tôt!! Le soleil est de la partie. Une fois en haut et après une pause dans la 'ville morte', nous redescendons par le poste frontière de Clavière, via les 3 tunnels, et jusqu'à Cesana. A la sortie de Cesana, route à gauche, et s'est parti pour les 11,5 km de montée de Sestrières, un col que je n'ai encore jamais monté.Je décide de partir à un bon rythme pour voir ce que ça donne. La pente est assez variable entre 6 et 8%, mais localement par moment, elle peut être sévère. On monte en pleine chaleur : ça doit vraiment taper ici au mois d'Août. Ce n'est pas le plus beau col que j'ai eu à faire, avec une première partie dans les arbres, mais ensuite une partie très bitume et pas très intéressante ... si ce n'est de faire un col.
Je force un peu par moment pour garder un bon rythme. La fin est assez raide, surtout à la sortie du petit village dont je ne me souvient plus le nom. A l'arrivée je monte en 45 mn et quelques les 10,5 km à 6%, à 245 Watts de moyenne,
Je redescends chercher Brigitte une dizaine de mn derrière, et l'accompagne jusqu'en haut : elle monte tranquillement. Après les photos d'usage dans cette station moche, nous redescendons par le même chemin.
15 mn plus trad nous voilà de nouveau à Cesana, et après quelques tours dans le village, Brigitte tombe par hasard, sur une tratoria à la station essence :la tratoria del sole. On rentre la dedans, et nous prenons le repas qu'on nous donne : pâtes, feuille de vigne avec viande, café, bière, pour 15 euros par tête. C'était super. On repart rassasié, direction Oulx, pour rejoindre Bardonecchia. 10 km de descente jusqu'à Oulx (mais avec le vent de face qui se lève). Puis un long faux plat montant (avec qques descentes courtes) de 11 km entre Oulx et Bardonecchia. Dans Bardonecchia, direction Colle della Scala. 4 km d'approche casse pattes, puis virage à gauche à l'entrée de la vallée étroite, que nous laissons sur la droite. Le col est court : 6 km, dont les 2 derniers en descente. Une belle rampe très raide (à plus de 10%) au bout d'1 km, sur une route sinueuse et en très mauvais état. Pour le reste, rien à signaler : de ce coté de la vallée il y a du soleil, mais on entend le tonnerre gronder coté France!! Une fois au sommet, nous redescendons vers Plampinet, lieu de notre départ. Les routes sont trempées, signe d'un orage peu de temps avant.
La sortie ici : sortie Sestrières
lundi 4 août 2014
COL LAUTARET/GALIBIER DEPUIS LA GRAVE
Après avoir récupéré de nos compétitions respectives de l'Alpe d'Huez (duathlon pour moi et Triathlon pour Brigitte), nous profitons de notre fin de séjour à Bourg d'Oisan pour aller grimper le Galibier. Après avoir envisagé un bref instant de partir depuis Bourg d'Oisan, nous nous sommes ravisés d'abord parce que de nombreux tunnels assez sombres sont à franchir, et que c'est un peu dangereux, et ensuite parce que niveau kilométrage, ça nous aurait fait 39+8=47 km de montée et autant pour revenir, ce qui aurait été beaucoup trop long. Du coup nous nous sommes rendu jusqu'à la grave en voiture , ou nous avons garé au parking. Il nous restait donc 12 km pour le Lautaret et 8 pour le Galibier, soit 20 km de montée. C'était le bon choix, car après la grave (et après 2 petits tunnels) la route et les paysages sont magnifiques. Nous étions partis à 3 avec Jean Charles. Très belle montée régulière jusqu'au col Lautaret (et vent dans le dos il faut l'avouer!), Ensuite à gauche vers le Galibier : je ne me souvenais pas que, mis à part le dernier kilomètre après le tunnel, les pourcentages ne sont pas très élevés (entre 5.5% et 7%): du coup, montée qui nous a paru assez simple (surtout après l'Alpe d'Huez!). J'ai fait le dernier kilomètre un peu à bloc dans la forte pente ....
Photo obligatoire au sommet, sous un temps ensoleillé, ni trop chaud ni trop froid.
Redescente au Lautaret où nous retrouvons Christine pour déjeuner au troquet du coin.
Puis redescente jusqu'à la voiture; une journée paisible en fin de compte.
Données Garmin (clic)
Photo obligatoire au sommet, sous un temps ensoleillé, ni trop chaud ni trop froid.
Redescente au Lautaret où nous retrouvons Christine pour déjeuner au troquet du coin.
Puis redescente jusqu'à la voiture; une journée paisible en fin de compte.
Données Garmin (clic)
lundi 28 juillet 2014
DUATHLON ALPE D'HUEZ - 6,5 CAP/15 VELO/ 2,5 CAP - 27 JUILLET 2014
Une petite compet dans un lieu grandiose : c'est ce qui nous attendait ce WE à l'Alpe d'Huez. J'avais choisi cette épreuve notamment pour la montée des célèbres 21 virages que je n'avais jamais fait.
Je retrouvai pour cette occasion Clément, notre cadet du club, an vacance dans le coin et qui s'était donc inscrit lui aussi. Notre camp de base se situe au camping de ,la piscine à 50 m du pied de la montée.
Vers midi je monte à l'Alpe d'Huez (en voiture ça va de soi!) pour récupérer mon dossard et déposer ma seconde paire de chaussure pour la deuxième CAP. Puis je redescend à Bourg d'Oisan, lieu du départ, pour déposer mon vélo au parc à vélo. Brifing.Parcours CAP 1 modifié a cause du nombre de participants ( plus de 400) : on partira à 500 m du départ prévu dans un endroit plus large.
Je retrouvai pour cette occasion Clément, notre cadet du club, an vacance dans le coin et qui s'était donc inscrit lui aussi. Notre camp de base se situe au camping de ,la piscine à 50 m du pied de la montée.
Vers midi je monte à l'Alpe d'Huez (en voiture ça va de soi!) pour récupérer mon dossard et déposer ma seconde paire de chaussure pour la deuxième CAP. Puis je redescend à Bourg d'Oisan, lieu du départ, pour déposer mon vélo au parc à vélo. Brifing.Parcours CAP 1 modifié a cause du nombre de participants ( plus de 400) : on partira à 500 m du départ prévu dans un endroit plus large.
CAP 1: je démarre avec Clément a mes côtés qui sera finalement mon poteau toute la course. une bonne côte de 1,5 km au milieu va bien m’entamer . Clément toujours à mes côtés (sans savoir s'il force ou pas). 1er kilo en 4'10", second en 6' (avec la côte). Puis on se cale entre 4'15'' et 4'30". A 5 km, je constate que je suis encore loin de l'arrivée : merde; l'effort va se prolonger plus longtemps que prévu :exactement 1,5 km de plus que prévu, soit 6,5 km en tout; la bonne nouvelle c'est que c'est plus long pour tout le monde; la moins bonne, c'est que je suis un peu naze. Je termine la boucle en 28' et des brouettes 20 mètres derrière Clément que je grille a la transition pour repartir en 30' environ 100 m devant. 1 km d'échauffement avant le virage numéro 21.
Les jambes un peu en coton tout à gauche les premiers 2,5 km qui doivent être les plus durs jusqu'à la Garde, avec ses % d'environ 10 à 11%. Et toujours Clément juste derrière telle un mollusque accroché . Après La Garde je tombe un ou 2 rapports sur des pentes un peu moins raides et je relance: 13 km/h au compteur par moment!! Et Clément qui se rapproche au moment même ou j'essaie de le décrocher en remettant du braquet . Au 9 ème il revient à ma hauteur : quelle montée de notre Cadet ! Pas de pitié il me lâche très lentement . Et nos supporters (Les Noualhaguet, Salmon et Maurice) qui passent régulièrement en bagnole a côté en hurlant 'allez Velizy' : ça aide!! Je m'accroche. Les derniers 4 kms sont de nouveau très raides avec une petite brise de face qui s'est levée. J'ai Clément dans le viseur a 150 m mais sur des pentes comme ça c'est plus de 30". Sur la fin je retrouve un peu d'énergie pour combler une partie de mon retard. 1h11 environ pour cette montée de l'Alpe d'huez ( et un temps vélo total d'un peu moins d'1h 15). J'arrive à fond à T2: je regrille Clément et on sort ensemble du T2. Les muscles sont tendus. Clément m'indique qu'il a pris une crampe. Ça démarre par une côte puis une descente . Clément reste a mes côtés (mais j'ai la sensation qu'il pourrait accélérer) . 1/2 tour : remontée et redescente . A 200 mètres de la ligne 1h58'30". Je dis a Clément 'allez ensemble en moins de 2 h. On accélère en on passe la ligne en 1h59'59" ensemble : on pouvait pas être plus juste en dessous des 2h!!
Course magnifique de Clément : que de progrès. Pour ma part, la sensation de pas avoir trop mal géré, donc plutôt satisfait.Et c'est super d'avoir fait toute la course ensemble.
Les jambes un peu en coton tout à gauche les premiers 2,5 km qui doivent être les plus durs jusqu'à la Garde, avec ses % d'environ 10 à 11%. Et toujours Clément juste derrière telle un mollusque accroché . Après La Garde je tombe un ou 2 rapports sur des pentes un peu moins raides et je relance: 13 km/h au compteur par moment!! Et Clément qui se rapproche au moment même ou j'essaie de le décrocher en remettant du braquet . Au 9 ème il revient à ma hauteur : quelle montée de notre Cadet ! Pas de pitié il me lâche très lentement . Et nos supporters (Les Noualhaguet, Salmon et Maurice) qui passent régulièrement en bagnole a côté en hurlant 'allez Velizy' : ça aide!! Je m'accroche. Les derniers 4 kms sont de nouveau très raides avec une petite brise de face qui s'est levée. J'ai Clément dans le viseur a 150 m mais sur des pentes comme ça c'est plus de 30". Sur la fin je retrouve un peu d'énergie pour combler une partie de mon retard. 1h11 environ pour cette montée de l'Alpe d'huez ( et un temps vélo total d'un peu moins d'1h 15). J'arrive à fond à T2: je regrille Clément et on sort ensemble du T2. Les muscles sont tendus. Clément m'indique qu'il a pris une crampe. Ça démarre par une côte puis une descente . Clément reste a mes côtés (mais j'ai la sensation qu'il pourrait accélérer) . 1/2 tour : remontée et redescente . A 200 mètres de la ligne 1h58'30". Je dis a Clément 'allez ensemble en moins de 2 h. On accélère en on passe la ligne en 1h59'59" ensemble : on pouvait pas être plus juste en dessous des 2h!!
Rdv mercredi pour les costauds du long : ils vont pas s'amuser!!
samedi 14 juin 2014
TRAIL DU CASTOR FOU - 12 km - 200 m>0 -SAMEDI 14 JUIN 2014
Après la belle sortie vélo du matin, nous voila alignés sur ce beau trail à Vauhallan entre Bièvres et Saclay.
Pas très motivé au départ. Suite à sa gastro, Brigitte a jeté l'éponge pour le 24 km, comme sur la cyclo du matin.Le départ du 12 km s'effectue à 18h15, 5' avant le départ du 24 km. Mais après un petit tour de 2 km, nous reprendrons la partie commune avec le 24 km, et nous nous retrouverons donc derrière la masse. Tant pis. Nous sommes 400 au départ.Top c'est parti. Je démarre un peu derrière et je dois faire du fractionné dans ces ruelles étroites pour remonter prendre ma place. Je suis un peu asphyxié, dès la première côte 100m après le départ. Je calme un peu le jeu, d'autant que pas mal de côtes arrivent rapidement. 4'20'' au 1er km. 9' au second. je dois être vers la 35 ème position. Et hop, nous voila arrivés dans le peloton du 24 km. Obligé de marcher en file indienne dans les single. Puis on essaie de dépasser dans les portions plus roulantes pour ne pas rester bloqué dans la côte suivante. 5 km en 24'. Puis 7 ème en 37' après un passage un peu raide de nouveau en file indienne : ceux sont des moments de récup imposés; difficile de dire s'ils sont bénéfiques, mais au moins ça fait redescendre le cardio. Vers le 8 ème séparation des parcours : on se retrouve enfin tranquille à dérouler notre allure. Avec moi, la première féminine m'accompagne depuis un moment, mais elle me décroche légèrement. J'ai en ligne de mire devant un moi, un Vétéran qui a joué des coudes pour passer dans les portions étroites : mon objectif est de me le faire !! à 2 km de l'arrivée, après une portion descendante en sous bois, une légère remontée : je le passe ! Avant d'arriver dans un gros raidillon, où je marche à un bon rythme. Il reste derrière. Je relance à fond derrière; la première féminine est 100 m devant,; je ne peux pas revenir. Je passe la ligne en 1h et 10'' en 42 ème position/400 coureurs.( et 11 ème V1/87). Bref encore une belle journée bien raide physiquement. La semaine qui vient sera une semaine de régénération.
Résultats : clic
Données de course: clic
CYCLO TOURISTE MONTICYCLO - 100 KM - SAMEDI 14 JUIN 2014
Après un début de bronchite et une grosse fatigue depuis Jeudi, je décidais finalement de choisir la petite monticyclo (100 KM) et non la 150, pour ce deuxième WE choc après celui de la semaine dernière dans le limousin. Jean Charles, victime lui d'une petite gastro, m'accompagne, ainsi que Yann M, qui bifurquera ensuite sur le 150 KM. Température agréable à 8h15 au moment du départ de Montigny Bx. Le parcours est relativement plat, et je voulais faire ce parcours à bonne allure (une trentaine de km/h). Après un début petit plateau en guise d'échauffement, nous roulons plutôt bien sur les routes des Yvelines du coté de Montfort Lamaury. Une petite erreur d'aiguillage à Méré nous rajoute 5 km (le temps d'un aller retour sur la grosse départementale, avant de revenir sur la petite route de Gallus). Je me sems plutôt en forme malgré cette foutu bronchite, et j'essaie d'emmener devant. Petites routes sympas sans circulation. Après Orgerus, nos chemins se séparent avec Yann. Nous bifurquons plein sud avec JC, vers Bazainville puis Condé sur Vesgres ou un ravito nous attend (km 55). Le vent est un peu instable et dans tous les sens. La fin du parcours s'effectuent sur nos rotes d'entraînement vers les Breviaires, Auffargis, Vx de Cernay. Entre Auffargis et Vaux de Cernay, je décide de me faire plaisir, et je pars gros braquet en appuyant méchamment. J'emmène 4 ou 5 personnes (dont JC) tandis que devant je reprends quelques coureurs isolés. En haut de la côte de Cernay je suis tout seul, et je roule à fond jusqu'à l'embranchement de la route de Dampierre. 37 km/h sur cette portion de 8 km. Au bout j'attend JC, .. mais pas de JC, alors que tous les autres cyclistes arrivent. Un cycliste arrive et me dit qu'il y a eu un accrochage avec une voiture. Un autre me dit qu'ils ne sont pas très loin. Demi tour, je repars un peu inquiet. Et je tombe sur JC en train de repartir : il est tombé en mettant sa roue dans l'ornière sur le bas coté au moment de démarrer en danseuse. Roue avant un peu voilée, le coude un peu entamé. nous effectuerons les 12 derniers km très tranquillement, la chute ayant définitivement coupé les jambes de JC. A l'arrivée, 3h45, 107 km, et 800 m>0. Un bon sandwich Rillette accompagnée d'une bière nous requinqueront. Il est 12h. Dans 6 h, ceux sont les 12 km du trail du castor fou qui nous attendent, alors on va rentrer se reposer un peu.
lundi 9 juin 2014
TRAIL GENDARMES ET VOLEURS 10 KM -200 m>0 -8 JUIN 2014
Après la cyclo de samedi, c'est la seconde épreuve de notre WE choc qui se présente ce dimanche 8 juin. J'ai choisi avec Jean Charles le petit parcours 10 km, bien suffisant pour moi en préparation du S de moisson et de l'alpes d'huez. Départ a 16h. Journée canicule. Nous démarrons en plein cagnard alors que ceux du 58 km partis a 8 h ce matin continuent d'arriver. Départ dans un champs avant d'attaquer le sous bois au bout d'1 km. Partit derrière , je fais déjà monter le cardio pour me repositionner : le parcours comprends une bosse au 2 eme, une autre au 6 eme et une autre avant l'arrivée pour 200 m de dénivellé environ. Je sais que mon allure en trail sur 10 km sur ce type de parcours est de 12 de moy, donc j'accélère un peu dans les parties roulantes avant de lever le pied dans les côtes . Rapidement je me retrouve à ma place : plus personne ne me double et je ne dépasse plus personne non plus . A 1 km de l'arrivée, en 44'15", je sais que je tiens mon 50'. Je commence à en remettre un peu. A 500 m de l'arrivée le public est d'un coup plus nombreux : tiens c'est bizarre, qu'est ce qu'ils font là ? Tiens ça commence à grimper un peu : sûrement le dernier coup de cul prévu : oui mais voilà : ça commence par une vraie bonne côte dans laquelle je préfère marcher a partir du milieu; je commence a comprendre pourquoi tous ces spectateurs sont là : parce que c'est la que ça se passe!! Après cette côte, ça se termine par une bonne trentaine de marche : je suis asphyxié ; je remarche . Merde, il me reste 250 m, je vais pas coincer là!! Au sommet, 250 m de descente, je ré accélère doucement le temps de baisser le cardio, et a 200 m je balance tout ce qu'il reste car je sais qu'avec ce mauvais passage, les 50' ne sont plus assurés . Je redouble les 2 gars qui m'avaient grillé dans les marches : top je passe la ligne. Arghhhhh!!! 50'44"; foutu dernier km qui m'aura laminé. Mais je suis plutôt satisfait : difficile de faire beaucoup mieux. J'ai couru a mon allure, et pour améliorer, faudrait faire un peu plus de spécifique. Au final, 61 eme place sur 720 participants (17 ème V1/111) . Le 1 er en 36' est le champion de france vétéran du 10 km ...
Jean Charles arrive en 54'30", pas si loin finalement : il aura fait une bonne course aussi .
Données de course Garmin (clic)
Résultats (clic)
Quel we !!
La suite le we prochain avec l'enchaînement le samedi 14, de la monticyclo (150 km) avec le trail du castor (13 km).
Jean Charles arrive en 54'30", pas si loin finalement : il aura fait une bonne course aussi .
Résultats (clic)
Quel we !!
La suite le we prochain avec l'enchaînement le samedi 14, de la monticyclo (150 km) avec le trail du castor (13 km).
dimanche 8 juin 2014
CYCLO SPORTIVE LIMOUSINE - 157 KM 2300 m>0- 7 JUIN 14
mule bar a 350 kcal aussi. Plus un bidon vidé à 240 kcal . J'ai très soif mais je sens que je suis un peu saturé en glucose : j'ai le ventre qui gémit un peu, et je commence a avoir un peu mal au cœur. Comme je n'ai que de la boisson énergétique j'évite de trop boire. Nous voilà au 100 ème en un peu moins de 3 h, et là je me fais reprendre de l'arrière : c'était prévu , mais ceux ne sont que 5 coureurs qui me reprennent et pas un peloton entier: ces gars la sont sortis de mon groupe initial et ont l'air de bien rouler. Je me met donc un peu au chaud, car je commence a fatiguer. A 30 bornes de l'arrivée j'ai un peu de mal : la moindre côte légère me casse les pattes : j'essaie de m'accrocher mais je dois laisser partir mon groupe a 25 km du but. Je me retrouve seul et vraiment fatigué pour cette fin de parcours. L'objectif de 5 h c'est évidemment envolé depuis la bifurcation des parcours. Je me raccroche a l'objectif du diplôme d'or, (moins de 5h20).Je me prends un gel . 147 km en moins de 5h. Il me faudra 23 mn pour boucler les 11 derniers km!! Je termine en 5h15 encore une fois lessivé. 236 ème /495 arrivants. Une bonne crampe au quadri droit. Je ne peux boire que du Perrier : plus de sucre pitié!! Je m'allonge dans l'herbe en attendant JC qui me rejoins en 5h40 .. avec les mêmes crampes que moi. Ouf c'est terminé : plutôt une bonne course au final , mais il m'aura encore manqué une vingtaine de km dans les jambes!!
Données de course garmin (clic)
Demain place au trail.
Pendant ce temps là, Brigitte c'était aligné sur le 72 bornes qu'elle boucle en 2h40, avant de s'attaquer dimanche au trail 35 km: ça va être très costaud.
samedi 24 mai 2014
MONTEE DU VENTOUX PAR BEDOUIN - SAMEDI 24 MAI 2014
En route vers le sud, nous avions planifié de faire une halte au mont Chauve, afin de réaliser la montée, toujours un bon moment de bravoure. Nous avions réservé un gîte au Nord de Sault 'Le Mona Lisa' juste au dessus de Montbrun les bains, petite station thermale. Arrivée vendredi soir vers 18h30, après une bonne journée de voiture depuis Paris. A priori je monterai seul avec Brigitte, Fred, Patrick et le reste de la bande ayant jetés l'éponge. Vers 22h, un SMS de Patrick me signale que finalement il a changé d'avis et viendra avec un des ces amis. Nous nous donnons rdv à Bedouin vers 10h45. Pour nous le trajet prévu est :Sault - Bedouin par les gorges de la Nesque (40 km de quasi descente), puis Bedouin - Sommet moint Ventoux (21 km de montée exclusive, 1600 m>0) -puis repas au chalet Reynard avant retour à Sault. Notre Gite est situé à 1000 m d'altitude, et le matin, à 8h, il fait 4 deg. Nous apprendrons plus tard que le sommet du Ventoux est resté fermé jusqu'à 10h à cause de la glace. Bref nous voila parti en voiture le samedi matin jusqu'à Sault, d'où nous démarrons en vélo à 9h10. Les gorges de la Nesque, avec le Ventoux au fond, sont splendides sous le filet de soleil du matin qui offre des couleurs somptueuses.
Après 1h45', nous rejoignons l'intersection de la route de Bedouin vers le Mont Ventoux, où nous retrouvons Patrick et Raphaêl. Nous attaquons la montée (en ayant grapillé les 2 ers km depuis Bedouin (insignifiants à 4%). Nous restons groupés jusqu'à Sainte Colombe, à un allure très modérée, et après le virage à gauche, les choses sérieuses débutent : le groupe s'étire; Patrick et Raphaël se détachent légèrement devant, tandis que je reste une cinquantaine de mètres, puis une centaine, derrière avec Brigitte. Après environ 2 km nous commençons à revenir doucement au train, entre 10 et 11 km/h. J'augmente alors un peu l'allure et laisse Brigitte, tandis que je reviens d'abord sur Patrick légèrement décroché (mais qui va pas mal quand même compte tenu de l'entraînement), puis sur Raphaël qui monte bien régulièrement à 10,5 km/h. Je me sens pas mal, et , sans trop me taper dedans, j'ai un bon train qui me permet de maintenir constamment entre 11 et 12 km/h. J'arrive au chalet Reynard en 1h09, à 11,3 km/h de moy. Les conditions sont top, ni trop chaudes, ni trop fraîches. Je m'arrête 2 mn au chalet pour réserver 4 personnes à 13h30, puis je redescends à la rencontre de mes acolytes. Je retrouve environ 500 m plus bas, Raphaël, suivi à 50 m de Brigitte. Je redescends un peu plus loin, mais pas de Patrick; je fais donc demi tour et remonte rapidement. Raphaël et Brigitte n'ont pas marqué de stop au Chalet; je fais donc comme eux. Après être revenu peu après le 1 er virage, on monte ensemble quelques minutes, puis j'emmène Brigitte. Raphaël garde son rythme. La montée est belle; mais j'avais oublié comme le dernier km est terrible, avec ses derniers 500 m à 11%!! Du coup j'ai lâché les chevaux un peu trop tôt à 1 km du sommet, et me suis rassis assez rapidement : impossible de se mettre dans le rouge pendant 1km soit quasiment 6'.
Le passage du sommet est toujours aussi mythique :génial!!
J'attends Brigitte qui arrive 2' plus tard, puis Raphaël et enfin Patrick, avec une belle crampe!!
Un léger vent d'Ouest, rafraîchit l'atmosphère malgré le soleil. Je bâche donc avec le lycra long, la veste et le coupe vent + les gants longs. Après les photos d'usage, nous redescendons au Chalet Reynard (6km), et nous installons à coté du poêle car ça pèle un peu. 2 bières, un magret au miel, un café et 1h30 plus tard, nous remontons sur nos montures, pour attaquer la descente vers Sault. 20 km de descente à travers les champs de Lavande avant d'arriver à Sault : superbe. Avec Patrick on se chauffe un peu; du coup on est un peu crâmé en bas; Pour moi ça va, puisque c'est la fin du parcours. Pour Patrick, il lui reste encore 40 km via les gorges de la Nesque, pour rejoindre Bedouin.
Nous quittons nos 2 compères du jour à Sault, après une bien belle journée.
Après 1h45', nous rejoignons l'intersection de la route de Bedouin vers le Mont Ventoux, où nous retrouvons Patrick et Raphaêl. Nous attaquons la montée (en ayant grapillé les 2 ers km depuis Bedouin (insignifiants à 4%). Nous restons groupés jusqu'à Sainte Colombe, à un allure très modérée, et après le virage à gauche, les choses sérieuses débutent : le groupe s'étire; Patrick et Raphaël se détachent légèrement devant, tandis que je reste une cinquantaine de mètres, puis une centaine, derrière avec Brigitte. Après environ 2 km nous commençons à revenir doucement au train, entre 10 et 11 km/h. J'augmente alors un peu l'allure et laisse Brigitte, tandis que je reviens d'abord sur Patrick légèrement décroché (mais qui va pas mal quand même compte tenu de l'entraînement), puis sur Raphaël qui monte bien régulièrement à 10,5 km/h. Je me sens pas mal, et , sans trop me taper dedans, j'ai un bon train qui me permet de maintenir constamment entre 11 et 12 km/h. J'arrive au chalet Reynard en 1h09, à 11,3 km/h de moy. Les conditions sont top, ni trop chaudes, ni trop fraîches. Je m'arrête 2 mn au chalet pour réserver 4 personnes à 13h30, puis je redescends à la rencontre de mes acolytes. Je retrouve environ 500 m plus bas, Raphaël, suivi à 50 m de Brigitte. Je redescends un peu plus loin, mais pas de Patrick; je fais donc demi tour et remonte rapidement. Raphaël et Brigitte n'ont pas marqué de stop au Chalet; je fais donc comme eux. Après être revenu peu après le 1 er virage, on monte ensemble quelques minutes, puis j'emmène Brigitte. Raphaël garde son rythme. La montée est belle; mais j'avais oublié comme le dernier km est terrible, avec ses derniers 500 m à 11%!! Du coup j'ai lâché les chevaux un peu trop tôt à 1 km du sommet, et me suis rassis assez rapidement : impossible de se mettre dans le rouge pendant 1km soit quasiment 6'.
Le passage du sommet est toujours aussi mythique :génial!!
J'attends Brigitte qui arrive 2' plus tard, puis Raphaël et enfin Patrick, avec une belle crampe!!
Un léger vent d'Ouest, rafraîchit l'atmosphère malgré le soleil. Je bâche donc avec le lycra long, la veste et le coupe vent + les gants longs. Après les photos d'usage, nous redescendons au Chalet Reynard (6km), et nous installons à coté du poêle car ça pèle un peu. 2 bières, un magret au miel, un café et 1h30 plus tard, nous remontons sur nos montures, pour attaquer la descente vers Sault. 20 km de descente à travers les champs de Lavande avant d'arriver à Sault : superbe. Avec Patrick on se chauffe un peu; du coup on est un peu crâmé en bas; Pour moi ça va, puisque c'est la fin du parcours. Pour Patrick, il lui reste encore 40 km via les gorges de la Nesque, pour rejoindre Bedouin.
Nous quittons nos 2 compères du jour à Sault, après une bien belle journée.
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